Je terminais mon dernier article sur la montée de l’affirmation nationale du Québec. Je tiens, à ce stade, à souligner que je me concentre exclusivement sur les lois linguistiques concernant la langue française. Si je débute par cette information, c’est parce qu’un certain nombre de lois concernent les langues amérindiennes. Si je ne les aborderai pas, c’est que l’enjeu soulevé n’est pas du même ordre.